Miss Algo - SDRC







 Pouvoir en parler !! 


« Le problème avec cette maladie, c'est qu'elle ne se voit pas et que l'on a parfois l'impression de passer pour des fous auprès des professionnels, tout comme auprès de notre entourage. Je suis heureuse d'avoir découvert ce groupe afin que je puisse enfin trouver des solutions à ces atroces douleurs. »

Myriam résume parfaitement la situation :

- si les médecins ne nous écoutent pas, négligeant le symptôme essentiel qu’est la douleur, parce qu’elle ne se voit sur aucun des examens qu’ils pratiquent…

- si la famille, les amis, les collègues, refusent ou « oublient » notre souffrance…

le seul recours est de pouvoir trouver des gens qui souffrent du même mal, et sont capables de comprendre, de compatir, de conseiller. Où, sinon sur internet ?


Conséquences psychopathologiques

Elles sont très fréquentes :

- Perte de confiance dans les médecins - revendication
- Anxiété concernant l’évolution
- Dépression réactionnelle
- Culpabilité et sentiment d’abandon

http://www.ammppu.org/abstract/rhumato/algodystrophie_brice.htm

 

Quelques situations vécues :


FACE AUX MEDECINS


 

  • Lettre ouverte aux professionnels de santé



  • EN FAMILLE




    La théorie des cuillères

     

    AU TRAVAIL


     

    DANS LE MILIEU SCOLAIRE


     

    A voir : La violence scolaire.

     

    DANS L’ENTOURAGE


     

  • Conseils à l'entourage



  • DANS LES GROUPES


     

    Ce syndrome est non mortel mais cependant, 47% des gens qui n’en guérissent pas, meurent !!
    Chaque mois, 1 ange de l’Algo se suicide.

    Vivre avec cette maladie est un enfer quotidien, elle est dévastatrice.
    Le combat est perpétuel contre cette maladie.
    Nous sommes des cobayes.
    Nous ne sommes pas pris en considération par le corps médical, par la famille pour certains, par certains employeurs, les administrations, etc….

    Voilà pourquoi des malades en arrivent au point de non-retour.
    On ose nous dire que la douleur n’est pas physique et que c’est dans notre tête.
    J’échange à qui veut 24 h de ma vie avec la sienne et on verra bien si c’est vraiment dans nos têtes.

                                                    C., malade depuis 2009